c'est le double, celui qui écrit, et celui qui doute, et celui qui n'a de cesse de trouver son double à l'intérieur de lui, ou alors quand le vent se lève, à l'extérieur, pour mieux revenir au départ de tout : l'intérieur, qui n'est pas le désert qu'on croit, surtout pas. Parcouru par tous les vents, ouvert aux quatre horizons, pieds nus dans la terre sacrée, fruit de cette terre, humble et reconnaissant, même à la souffrance, reconnaissant.
Consultations de pages de la semaine précédente
mardi 19 avril 2011
La Sainte-Emma
Le 19 avril, où devions-nous être à la Sainte Emma? C'était, il y a longtemps, mais chaque année, je repense à cette hésitation fort littéraire, au pied du campanile de Siena, qui domine la piazza del Campo, et à Guido Riccio da Fogliano, seul sur son cheval chamarré, immobile devant les collines bleu-nuit de Simone Martini... Bonsoir !
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