c'est le double, celui qui écrit, et celui qui doute, et celui qui n'a de cesse de trouver son double à l'intérieur de lui, ou alors quand le vent se lève, à l'extérieur, pour mieux revenir au départ de tout : l'intérieur, qui n'est pas le désert qu'on croit, surtout pas. Parcouru par tous les vents, ouvert aux quatre horizons, pieds nus dans la terre sacrée, fruit de cette terre, humble et reconnaissant, même à la souffrance, reconnaissant.
Consultations de pages de la semaine précédente
mardi 4 octobre 2011
Une indécente thésaurisation... depuis quand s'abonne-t-on à moi sans mon autorisation... ? C'est l'ère des viols collectifs, des harcèlements sans relâche, en tous genres. Demandez-moi, certes, la lune : je vous offrirai le tire-bouchon, depuis les temps que les cochons cochonnent et que les truies s'hystérisent. Passez donc votre chemin, je ne suis pas d'ici, et je ne vous dirai rien, puisque je n'ai rien à vous offrir...
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
3 commentaires:
L'automne vous va si bien...
et puis, il semblerait que la neige retarde, et puisque moi je m'attarde, je serai de retour en conséquence...et dire que la vie vit!
Enregistrer un commentaire